mardi 26 avril 2011

Le silence de la mer, de Vercors.

Hiver 1940, la France est défaite. En province, dans une ancienne demeure, un vieil homme et sa nièce voient une partie de leur habitat réquisitionnée pour héberger un officier allemand. Lors des veillées, dans la grande cuisine, seule pièce chauffée, au coin de l’âtre, l’officier leur rend visite et essaye d’établir un contact. Enfermés dans leur mutisme, les deux hôtes écoutent sans mot dire. De long monologues sur l’amour des peuples, la coopération, l’admiration de la culture française émanent de cet homme fin et cultivé, musicien de profession. Il croit à l’avenir d’une Europe unifiée où chacun respecte l’autre et y apporte son particularisme. Il croit en la pluralité des cultures et des idées. En face de lui, seul le silence lui répond. Et puis, lors d’un voyage de l’officier à Paris, tout bascule. Il a compris le vrai visage du nazisme, la fausse route sur laquelle il croyait évoluer. Alors, plein d’amertume, ne pouvant plus affronter ses hôtes, il demande sa mutation pour le front. Lors de son départ, le vieil homme et sa nièce briseront la barrière du silence qu’ils avaient établie.

J'ai trouvé ce livre bien écrit. L'histoire est passionnante. Les émotions y sont bien décrites avec beaucoup de justesse. Je le conseille !!!

Note : 3,5/5

Quentin Gronda


J'ai trouvé ce livre ennuyeux et je n'ai presque rien compris.

Note : 0/5

Roméo Merchie