dimanche 5 juin 2011

Sortie au Théâtre Musical de Besançon - Cyrano de Bergerac, d'Edmond Rostand.


Le mardi 24 avril au soir, nous nous sommes rendus au Théâtre Musical de Besançon pour assister à une représentation de Cyrano de Bergerac mise en scène par Gilles Bouillon. Voici un aperçu de ce que vous en avez pensé :

"Il y avait une belle mise en scène, qui restait simple". Sarah D.

"Dans la scène d'exposition, le décor était sobre, et contrairement au film avec Gérard Depardieu, les comédiens étaient peu nombreux ; la pièce jouait davantage sur la suggestion que sur le réalisme". Sarah D

"L'apparition de Cyrano dans le public a fait son effet." Marine G.

"Ce qui m'a le plus plu, c'est que Cyrano soit parmi le public ; on avait l'impression que nous spectateurs faisions partie de la pièce". Sarah D.


"La tirade des nez était très vivante et réussie, grâce au comédien qui jouait Cyrano, qui était très bon". Marine G.

"Cyrano savait adopter toute une palette de tons différents, et maîtrisait son texte à la perfection". Eva R.

"Les acteurs qui interprétaient Christian et Roxane étaient un peu moins expérimentés, mais leur jeu était tout à fait convenable. La diction des comédiens principaux et secondaires était bonne, et les costumes très beaux. Les décors, les jeux de lumière et la musique étaient globalement bons. Les panneaux avec un décor projeté était une bonne idée". Robin B.

"Roxane avait un jeu très sensible et très fin" Sarah D

"L'interprétation du comédien qui jouait Christian était bonne". Dylan C.

"Montfleury et Ragueneau étaient les personnages secondaires les plus amusants". Dylan S.

"Lignière était très drôle". Marine G.


"Dans la scène du trio amoureux, l'atmosphère était à la fois sombre et lumineuse". Sarah D.

"L'heure était au romantisme, sans pour autant exclure une touche de comique lorsque Cyrano prononce la réplique à double sens : "Ce nouveau né, Madame...". Robin B.


"La présence de la lune à plusieurs reprises dans la pièce est d'ailleurs un hommage rendu au vrai Hercule Savinien Cyrano de Bergerac, qui écrivit le récit d'un voyage fictif vers la Lune". Robin B.


"J'ai beaucoup aimé le Ier Acte, parce que c'est un moment de la pièce à la fois extrêmement dynamique et comique". Clément T.

"Le IIème acte, qui se déroule dans la pâtisserie, était très réussi". Jérémy C.

"La scène des cadets de Gascogne était excellente". Eva R.

"J'ai bien aimé le IIIème Acte, parce que le quiproquo est amusant, et en même temps, la scène est très romantique". Léa H.

"Mon acte préféré est l'acte IV : la guerre y est très bien mise en scène, ce qui est loin d'être évident". Aline R.

"J'ai préféré le Vème acte, parce qu'il se déroule 15 ans après, et que c'est le moment où la vérité éclate. Cyrano avoue ses sentiments à Roxane, sa cousine. Il y a beaucoup d'émotion, car le héros vit ses dernières heures." Claire-Sophie G.

mardi 26 avril 2011

La petite fille de Monsieur Linh, de Philippe Claudel.

Monsieur Linh est un vieil homme. Il a quitté son village dévasté par la guerre, n’emportant avec lui qu’une petite valise contenant quelques vêtements usagés, une photo jaunie, une poignée de terre de son pays. Dans ses bras, repose un nouveau-né. Les parents de l’enfant sont morts et Monsieur Linh a décidé de partir avec Sang Diû, sa petite fille. Après un long voyage en bateau, ils débarquent dans une ville froide et grise, avec des centaines de réfugiés. Monsieur Linh a tout perdu. Il partage désormais un dortoir avec d’autres exilés qui se moquent de sa maladresse. Dans cette ville inconnue où les gens s’ignorent, il va pourtant se faire un ami, Monsieur Bark, un gros homme solitaire. Ils ne parlent pas la même langue, mais ils comprennent la musique des mots et la pudeur des gestes. Monsieur Linh est un cœur simple, brisé par les guerres et les deuils, qui ne vit plus que pour sa petite fille.

Ce livre est très touchant ; il est simple, pour une histoire triste, émouvante mais également remplie d'espoir grâce à l'amitié. J'ai bien aimé.

Note : 4/5

Angélique Suchet

La guerre des clans, d'Erin Hunter.

Au sein du Clan du Tonnerre, Coeur de Feu est devenu un valeureux guerrier. Une chance ! Il aura besoin de toutes ses forces pour déjouer les plans diaboliques de Griffe de Tigre qui cherche à lui nuire et à l'exclure de son clan. Sans parler des accidents et maladies qui s'abattent depuis quelque temps sur sa tribu. Lorsque le clan voisin, celui du Vent, est chassé de ses terres, sa méfiance grandit encore. Déchiré, Coeur de Feu s'interroge : comment aider les autres quand on doit se défendre soi-même ?

J'ai adoré ce livre car il y a de l'action, du suspense. C'est intéressant que les personnages soient des chats, car cela change des humains. J'ai vraiment envie de lire la suite.

Note : 4,5/5

Robin Bermont

Le lion, de Joseph Kessel.

Le Lion raconte l’histoire d’un voyageur (l’auteur ?) en visite dans une réserve du Kenya. Ce voyage est l’occasion pour lui d’une rencontre magique et pour le lecteur l’occasion de vivre un superbe safari tout en comprenant petit à petit les relations qui lient une famille pas comme les autres.

J'ai adoré ce livre car c'est une histoire très émouvante. Je le conseille aux gens qui aiment les romans qui parlent de la nature... c'est un livre très facile à lire.

Note : ?

Claudine Brenot

C'est une histoire très belle, même si la fin est un peu triste. Je conseille ce livre aux personnes qui aiment les histoires africaines et émouvantes.

Note : 5/5

Manon Carré

Des souris et des hommes, de John Steinbeck.

En Californie dans les années 30, pendant la crise économique, deux hommes parcourent la campagne de ferme en ferme à la recherche d'un travail. Le premier, George, un homme « petit et vif » dirige son ami Lennie, un géant doté d'une force herculéenne mais qui semble retardé mentalement. A cause de lui, George ne peut jamais se fixer quelque part. En effet, Lennie qui ne maîtrise pas sa force, finit toujours par causer des ennuis partout où il se trouve. Souvent, George raconte à Lennie qu'un jour ils auront suffisamment d'argent pour acheter leur propre terre et pour s'installer ensemble, mais ce n'est qu'un doux rêve qui leur permet d'échapper à leur quotidien difficile.

Je n'ai pas aimé ce livre car le langage est très spécial, l'histoire n'est pas terrible.

Note : 1,5/5

Julien Jambe

La gloire de mon père, de Marcel Pagnol.

Un petit Marseillais d'il y a un siècle : l'école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père... Lorsqu'il commence à rédiger ses Souvenirs d'enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s'éloigner du cinéma, et le théâtre ne lui sourit plus. La Gloire de mon père. dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l'avènement d'un grand prosateur. Joseph, le père instituteur, Augustine la timide maman, l'oncle Jules, la tante Rose, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius. César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d'école primaire... Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde. Plus tard, paraît-il, Pagnol aurait voulu qu'ils deviennent un film. C'est Yves Robert qui, longtemps après la mort de l'écrivain. le réalisera.

J'ai bien aimé cette histoire car c'est bien raconté, ce n'est pas ennuyeux et le livre n'est pas trop compliqué.

Note : 4/5

Cindy Guillotin

Ce livre était très bien ; j'aime bien la chasse et les thèmes du livre m'ont intéressé.

Note : 3,5/5

Fabien Poitout-Gras









Le silence de la mer, de Vercors.

Hiver 1940, la France est défaite. En province, dans une ancienne demeure, un vieil homme et sa nièce voient une partie de leur habitat réquisitionnée pour héberger un officier allemand. Lors des veillées, dans la grande cuisine, seule pièce chauffée, au coin de l’âtre, l’officier leur rend visite et essaye d’établir un contact. Enfermés dans leur mutisme, les deux hôtes écoutent sans mot dire. De long monologues sur l’amour des peuples, la coopération, l’admiration de la culture française émanent de cet homme fin et cultivé, musicien de profession. Il croit à l’avenir d’une Europe unifiée où chacun respecte l’autre et y apporte son particularisme. Il croit en la pluralité des cultures et des idées. En face de lui, seul le silence lui répond. Et puis, lors d’un voyage de l’officier à Paris, tout bascule. Il a compris le vrai visage du nazisme, la fausse route sur laquelle il croyait évoluer. Alors, plein d’amertume, ne pouvant plus affronter ses hôtes, il demande sa mutation pour le front. Lors de son départ, le vieil homme et sa nièce briseront la barrière du silence qu’ils avaient établie.

J'ai trouvé ce livre bien écrit. L'histoire est passionnante. Les émotions y sont bien décrites avec beaucoup de justesse. Je le conseille !!!

Note : 3,5/5

Quentin Gronda


J'ai trouvé ce livre ennuyeux et je n'ai presque rien compris.

Note : 0/5

Roméo Merchie